1- Savoir ce que l’on veut identifier
En fonction de la nature des produits, objets ou colis que l’on envisage d’identifier, les choix technologiques et les coûts associés peuvent être très variables. S’agit-il d’identifier une palette, différents colis au sein d’une palette ou encore différents produits au sein d’un colis ? De la réponse à cette question dépend le nombre de puces RFID à déployer. Mais ce n’est pas tout ! La nature des éléments à identifier peut ne pas être compatible avec la technologie. Par exemple, la RFID est perturbée par le métal ou la présence de liquide ; un aspect à prendre en considération en amont du projet.
2- Cerner le périmètre du projet
Les puces RFID sont susceptibles de contenir de nombreuses informations. Mais celles-ci doivent être réellement exploitées. Le périmètre du projet concerne non seulement le volume d’informations stocké sur la puces (la capacité de stockage des puces varie, de même que leur prix) mais aussi l’accès à cette information. Le projet fonctionnera-t-il en boucle fermée (restreint au cadre d’une usine par exemple) ou sera-t-il ouvert à des partenaires ? Des critères essentiels à observer avec attention car ils peuvent conditionner des choix technologiques importants ou affecter la structure des données.
3- Mesurer le rapport Gain/Coût
Valable pour tout type de projet, cette question est capitale dans le cas du RFID. Il convient de mettre en perspective les gains escomptés (productivité, confort d’utilisation, ROI) avec la réalité de la technologie et ses contraintes éventuelles. Vérifiez la viabilité technologie et économique du projet.